Document 1 :
Je voyage fréquemment avec des compagnies aériennes à prix réduits. Ces compagnies low-cost offrent des billets bien moins chers que les compagnies traditionnelles, parfois même à un coût inférieur aux trajets en voiture ou en train. Toutefois, ces prix attractifs s'accompagnent de certaines restrictions, comme l'absence de repas et de boissons à bord. C'est une option intéressante pour les vols courts, mais peu adaptée aux longues distances.

Document 2 :
Récemment, j'ai décidé de ne plus utiliser les compagnies aériennes low-cost. Après mûre réflexion, j'ai pris cette décision en raison du manque de confort des sièges, des conditions de travail précaires des employés et des avions parfois vieillissants qui soulèvent des inquiétudes en matière de sécurité. Pour les courts trajets, je préfère désormais la voiture ou le train, qui permet aussi d'admirer les paysages. Quant aux vols longs courriers, je privilégie les compagnies aériennes classiques.

Document 1 :
De plus en plus d'établissements scolaires intègrent des repas sans viande dans leurs menus, au moins deux fois par semaine. Certaines études ont démontré que les enfants consomment une quantité excessive de protéines animales. Pour des raisons de santé, les écoles privilégient des alternatives comme le soja, les céréales et les légumes, qui sont plus sains et bénéfiques pour la croissance des enfants. En outre, ces repas sont souvent plus économiques pour les familles. Cette mesure est généralement bien accueillie par les parents et les élèves.

Document 2 :
La suppression de la viande dans les menus scolaires ne fait pas l'unanimité. Pour certaines familles en difficulté, la cantine représente la seule opportunité pour leurs enfants de consommer de la viande, qui reste un aliment coûteux. Par ailleurs, les producteurs locaux de viande sont affectés économiquement par cette mesure. Enfin, bon nombre d'enfants préfèrent encore les plats à base de viande, trouvant que les steaks de soja manquent de saveur.

Document 1 :
Face à une pollution croissante, certaines villes ont mis en place des interdictions de circulation en centre-ville. Par exemple, Oslo a appliqué cette mesure avec succès, réduisant ainsi le taux d'accidents et la dépendance au pétrole, tout en améliorant la qualité de l'air.

Document 2 :
Si l'interdiction des voitures en zone urbaine a des avantages, elle pose aussi des défis. Beaucoup de villes ne disposent pas encore d'une infrastructure adaptée pour assurer une transition efficace. Il est essentiel de prévoir des parkings, de renforcer les transports en commun et de permettre la circulation de certains services essentiels comme les ambulances et les livraisons.

Document 1 :
Christine, 56 ans, consacre chaque hiver du temps et de l'argent pour aider les personnes sans abri. Elle considère qu'il est essentiel d'être solidaire envers ceux qui sont dans le besoin et estime que ce geste, même modeste, peut faire la différence.

Document 2 :
Pierre, 65 ans, estime que donner de l'argent n'est pas une solution durable. Selon lui, l'important est d'aider ces personnes à retrouver leur autonomie à travers un logement et un emploi. Il s'investit quotidiennement dans une association qui accompagne les sans-abris vers la réinsertion professionnelle.

Document 1 :
La colocation présente de nombreux avantages : elle permet de partager les frais de logement, de vivre une expérience sociale enrichissante et de tisser des liens avec des personnes d'horizons différents.

Document 2 :
Toutefois, cohabiter avec d'autres personnes peut également entraîner des tensions liées aux différences de mode de vie et au partage des responsabilités. Il est donc essentiel d'établir des règles et une bonne communication pour éviter les conflits.

Document 1 :
Bien que certains amateurs réussissent à préparer d'excellents plats, ils ne possèdent pas toujours les compétences et les techniques avancées des professionnels. Une formation et une expérience approfondie restent essentielles pour devenir un véritable chef cuisinier.

Document 2 :
Certains autodidactes passionnés de cuisine ont réussi à se faire un nom sur les réseaux sociaux, parfois sans formation officielle. Il existe même des amateurs devenus chefs professionnels et ayant publié des ouvrages destinés aux passionnés de cuisine à domicile.

Document 1 :
Certains soutiennent l'installation de distributeurs de boissons dans les lycées, car ils offrent une alternative pratique pour les élèves qui n'ont pas le temps de se rendre à la cafétéria. De plus, ces distributeurs peuvent être approvisionnés en boissons saines et constituer une source de revenus pour les établissements scolaires.

Document 2 :
D'autres estiment que la présence de distributeurs dans les écoles favorise la consommation excessive de boissons sucrées, contribuant ainsi à des problèmes de santé comme l'obésité et le diabète. Ils plaident pour que les établissements encouragent plutôt des habitudes alimentaires saines.

Document 1 :
Aïcha, une jeune femme vivant seule, préfère dîner à l'extérieur plutôt que de manger seule chez elle. Pour elle, sortir au restaurant est une occasion de socialiser et de profiter de la diversité culinaire de sa ville.

Document 2 :
Laura, mère de famille, considère que manger au restaurant est un luxe difficilement accessible à une famille nombreuse. Elle privilégie la cuisine maison, qui est plus économique et permet de mieux contrôler la qualité des repas.